Google s'intéresse à l'audio, c'est nouveau ! Il a lancé fin 2015 son accessoire magique dédié aux audiophiles et à tous les utilisateurs qui veulent écouter de la musique sans-fil à la maison, avec une bonne qualité de son. Il s'agit du ChromeCast Audio un tout petit boîtier rond, qui pour un prix riquiqui (moins de 40 €) promet de très bonnes performances. Pour en avoir le cœur net, nous l'avons confié à un audiophiles patentés disposant d'une chaîne Haute Fidélité très haut de gamme... Sa conclusion est surprenante.

Mulidine est un fabricant français créé en 1981, et géré depuis 2005 par Marc Fontaine. La société revendique depuis ses origines la fabrication 100% made in France de ses produits haut de gamme, avec un travail acoustique très apprécié des audiophiles. Avec les enceintes Bagatelle et Alegretto, l’enceinte Cadence forme la gamme Mélomane de Mulidine, et intègre le meilleur du travail acoustique de la marque.

Note artistique : (4/5)

Synopsis

Un portrait en deux parties (1901-1941 et 1941-1961) du génial Walt Disney, visionnaire qui a fait rêver des générations entières d'enfants et leurs parents. À l'aide d'images d'archives inédites, d'extraits de films et de témoignages de proches de Walt Disney, ce film raconte la vie et l'œuvre de l'inventeur de Mickey et nous dévoile les nombreux secrets entourant ce personnage aussi fascinant et qu'énigmatique…

La Musique dans les nuages.

31 appareils au banc d'essai : enceintes sans-fil (Wi-Fi et Bluetooth), stations d’écoute multiroom, amplificateurs connectés, lecteurs réseau, serveurs de musique, DAC multimédia...

Le retour en force du vinyle et la multiplication des disquaires ne signifie pas forcément que le travail de production soit plus facile pour les artistes, qui manquent souvent de moyens. La plate-forme Diggers Factory propose de mettre en adéquation l’offre et la demande en connectant artistes, labels et fans pour produire des vinyles en diminuant les risques de sous ou de sur-production.

Le musicien Alaa Wardi s’est fait remarquer sur la toile pour ses reprises en a capella et en beatboxing, ses remakes de publicités et ses parodies comme « No Woman No Drive ». Dans son clip de six minutes intitulé « Évolution de la musique arabe », il enchaîne 42 titres qui déroulent avec un brin d’humour plus d’un siècle d’histoire musicale.

Note artistique : (4/5)

Synopsis

Karamakate, un chaman amazonien puissant, dernier survivant de son peuple, vit isolé dans les profondeurs de la jungle. Des dizaines d’années de solitude ont fait de lui un chullachaqui, un humain dépourvu de souvenirs et d’émotions. Sa vie est bouleversée par l’arrivée d’Evans, un ethnobotaniste américain à la recherche de la yakruna, une plante sacrée très puissante, possédant la vertu d’apprendre à rêver. Ils entreprennent ensemble un voyage jusqu’au cœur de la forêt Amazonienne au cours duquel, passé, présent et futur se confondent, et qui permettra à Karamakate de retrouver peu à peu ses souvenirs perdus.

Heos, le système multiroom de Denon (voir ici nos tests ON Mag), fait peau neuve avec une gamme d'enceinte de seconde génération qui permet de lire des flux audio en Bluetooth et de les streamer, mais aussi d'utiliser le Wi-Fi ou l'Ethernet pour écouter de la musique en format PCM jusqu'en 24 bits/192 kHz.

Marque très appréciée des audiophiles, Sugden est un fabriquant britannique artisanal à l’esprit familial qui fut certainement le premier à proposer un amplificateur à transistors 100% en classe A, dés 1967 : l’A21. Toujours au catalogue, cet amplificateur a bénéficié de plusieurs évolutions depuis sa création. Il arrive maintenant en France dans sa dernière version « Signature ». Il est accompagné, pour la première fois chez Sugden, d’un DAC qui se veut rester au plus près possible de l'expérience sonore analogique.

Note artistique globale : (4/5)
Note technique globale : (3,5/5)

Synopsis

Douglas Sirk, considéré comme le maître américain du genre mélodramatique, doit sa reconnaissance aux cinéastes de la Nouvelle Vague. Cette livraison réunit trois de ses grands mélos hollywoodiens réalisés entre 1955 et 1959 avec ce style particulier magnifié par la photographie de Russell Metty. Dans chaque œuvre, le même leitmotiv : dépeindre l’effondrement de la société par le biais des normes exacerbées du mélodrame.