Le Rouet d’Omphale op. 31
Phaéton op. 39
Danse macabre op. 40
Marche héroïque
par l’Orchestre National d’Ile-de-France
dirigé par Yoel Levi
Durée : 2h 10’ 56’’
VEL 3136 (www.disqueoffice.ch)
Notre avis : 
(4/5)
Ce double disque de l’ONIF (Orchestre National d’Ile-de-France) nous donne à entendre, et de bien belle façon, un compositeur volontiers décrié, voire vilipendé par bon nombre de gens.
Claudio Monteverdi
Vespro Della Beata Virgine
par l’Orchestra of the Age of Enlightenment
dirigé par Robert Howarth
Signum Classics
(Intégral Distribution)
Durée : 1h 37’ 7’’
Notre avis : 
(4/5)
Bien que d’essence strictement religieuse, cette œuvre de Claudio Monteverdi (Vespro Della Beata Virgine) possède néanmoins une certaine théâtralité due à la construction dramatique induite par les différentes parties qui la composent.
Durée : 45’ 42’’
Sirventes 21188013 (L’Autre distribution)
www.myspace.com/lamalcoiffee
www.sirventes.com
Notre avis : 
(4/5)
La Mal Coiffée, ce sont cinq voix féminines dynamiques (Hélène Arnaud, Karine Berny, Myriam Boisserie, Marie Coumes, et Laetitia Dutech) accompagnées de percussions diverses, tambourin, tam-tam, brau, castagnettes, bendir, cymbalettes et palmas, c’est-à-dire claquements des mains à l’espagnole.
Sonatas en trio opus 1
Musique de Chambre 2
par Ton Koopman
Challenge Records (Intégral Distribution)
Durée : 59’ 53’’
Notre avis : 
(4/5)
Composées tardivement vers la fin du 17e siècle, ces Sonatas en trio de Dietrich Buxtehude prennent pour modèle tout en s’en émancipant rapidement, des œuvres instrumentales du compositeur vénitien Giovanni Legrenzi.
Durée : 49’ 8’’
Sur l’air de rien Productions Coko 01/1
www.corentin-coko.fr
Notre avis : (4/5)
Il développe un humour tendre, fragile et noir, ce chanteur-accordéoniste-pianiste Corentin Coko, avec ses chansons qui veulent dire quelque chose.
par Cappella Mediterranea, Clematis et le Chœur de chambre de Namur
dirigés par Leonardo Garcia Alarcon
avec Mariana Flores (soprano), Fabian Schofrin (contre-ténor), Fernando Guimaraes (ténor), Matteo Bellotto (basse)
Durée : 55’
RIC 313 (www.ricerbar.be)
Notre avis : (5/5)
Le chef d’orchestre argentin Leonardo Garcia Alarcon a décidément de la chance ou plutôt, comme diraient les Anglo-Saxons, de la serendipity, l’art de tomber pile. Après avoir découvert Le Déluge Universel de Michelangelo Falvetti (une merveille !), le voici qui sort des limbes un compositeur oublié : Giovanni Giorgi, (ou De Giorgi, ou De Giorgis, ou Zorzi).
Paris. 19ème - Péniche « Planète Anako »
Michel Lethiec (cl)
Jeroen Reuling (cello)
David Selig (p)
Il faisait bon le samedi 10 septembre, la soirée était l’une des dernières les plus agréables que Paris ait connues cette année. Quai de Seine, sur le bassin de la Villette, touristes et Parisiens pique-niquaient au bord de l’eau. De l’autre côté, la péniche Anako attendait les mélomanes. Les Journées Romantiques offraient ce soir-là un trio remarquable, clarinette, piano, violoncelle, avec un programme soigné, le trio Lethiec-Reuling-Selig.
Paris 19ème
Péniche « Planète Anako »
Tristan Cornut (cello)
Sanjay Mody (p)
Il y avait deux talents à découvrir le jeudi 8 septembre sur la péniche Anako, face au 61 quai de la Seine, sur le bassin de la Villette, à Paris : le violoncelliste Tristan Cornut et le pianiste Sanjay Mody, dans le cadre des Journées romantiques.
par Alexandre Dmitriev (cello)
et Alexandre Paley (p)
Durée : 1h 7’ 3’’
LVC 1170
(www.saphirproductions.net)
Notre avis : (4/5)
Cet enregistrement live des deux sonates pour violoncelle et piano qui constituent l’opus 26 de Georges Enesco a été réalisé le 23 juillet 2009 au festival de Montpellier. Entre la première et la seconde, pas moins de trente-sept ans !
The Rhythm & Blues Hits and the Jazz
Durée : 3h 29’ 30’’
FA 5350
(www.fremeaux.com)
Notre avis : (4/5)
Cette anthologie, de trois CDs très bien remplis, est consacrée, en ce concerne les deux premiers, aux succès commerciaux les plus gigantesques, en rhythm & blues, en soul music, voire même en pop music, de ce phénomène médiatique qu’était Ray Charles, et, pour le troisième à ce même Ray Charles, mais jouant uniquement du jazz. L’avantage avec Ray Charles, c’est que, tel Midas, tout ce qu’il touchait devenait immédiatement ou du blues ou de la soul.
