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65ème Festival des Jeux du Théâtre de Sarlat en Périgord du 18 juillet au 3 août 2016

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65e Festival des Jeux du Théâtre de Sarlat en Périgord
18 juillet - 3 août 2016
www.festival-theatre-sarlat.com

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Pour ce 65e Festival des Jeux du Théâtre de Sarlat, Jean-Paul Tribout et son équipe ont concocté un programme dans lequel le théâtre classique s’affiche sans complexe avec un répertoire s’aventurant nettement plus avant dans le territoire contemporain.

Molière sera bien présent avec « L’Ecole des femmes », dans une mise en scène d’Armand Eloi alors que l’aspect burlesque et moqueur de Molière triomphera dans « Les fourberies de Scapin », dans une mise en scène de Jean-Philippe Daguerre. Mais deux auteurs français adeptes eux-aussi de l’extravagant et du comique figureront également dans ce Festival. Eugène Labiche nous proposera son désopilant « Voyage de monsieur Perrichon », dans la mise en scène de Cécile Van Snick et Georges Feydeau sera là avec  « Un fil à la patte », dans une mise en scène d’Anthony Magnier.

Ne pas omettre la touche « british » de ce Festival avec « Pygmalion » de George Bernard Shaw, dans la mise en scène de Ned Grujic sans oublier une plongée dans le passé avec « Une leçon d’histoire de France » (deuxième époque : de 1515 au Roi-Soleil) de Maxime d’Aboville d’après Dumas, Michelet, Hugo et Saint-Simon. La mise en scène et l’interprétation de cette Leçon d’histoire de France seront assurées par Maxime d’Aboville. Mais notre présent va s’imposer avec « Adolf Cohen » de Jean-Loup Horwitz, mis en scène par Nicole et Jacques Rosner. Roberto Arlt, un écrivain argentin à redécouvrir, au talent turbulent et imprévisible, s’invitera aussi dans ce festival avec « Preuve d’amour », dans une mise en scène de Rafael Bianciotto. Mais d’autres surprises attendent les spectateurs de ce Festival comme par exemple « Retour à Reims », d’après l’essai de Didier Eribon, dans une mise en scène due à Laurent Hatat, « Swing Heil » de Romuald Borys mis en scène par lui-même ainsi que « L’Ile sans nom » de Johanna Gallard, spectacle mis en scène par l’auteure elle-même.

On pourra voir aussi « L’Homme dans le plafond » de Timothy Daly. Cette pièce s’inspire d’un incroyable récit se déroulant dans les derniers soubresauts du régime nazi en Allemagne. La mise en scène est signée Isabelle Starkier. « Mon oncle le jaguar », d’après   
Joao Guimaraes Rosa sera interprété et mis en scène par Thierry Lefever alors que « Tabou » de Laurence Février avec la plaidoirie de Gisèle Halimi sera mis en scène par elle-même.

« Mec ! » d’après les mots d’Allain Leprest, de Philippe Torreton sera interprété par lui-même, accompagné aux percussions par Edward Perraud alors que le testament littéraire de Stefan Zweig, « Le monde d’hier », sera mis en scène par Patrick Pineau et Jérôme Kircher. Il y aura aussi « Les pied tanqués », un récit de Philippe Chuyen dans sa propre mise en scène ainsi qu’un retour vers un lointain passé, celui de 1508 : « Michel-Ange ou les fesses de Dieu » de Jean-Philippe Noël, spectacle lu par Jean-Paul Bordes, François Siéner, Jean-Paul Comart et bien sûr aussi Jean-Philippe Noël. Enfin un spectacle dédié à la condition féminine sera présenté dans ce Festival. Il s’agit de « Et pendant ce temps Simone veille », de Corinne Berron, Hélène Serres, Vanina Sicurani, Bonbon et Trinidad dans une mise en scène de Gil Galliot. Complément indispensable à ce Festival : Les rencontres de Plamon, sorte de forum quotidien débutant à 11h, seront animées par Jean-Paul Tribout du 18 juillet au 3 août 2016. Un Festival qui s’annonce passionnant !
Michel Jakubowicz

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