Durée : 42’ 4’’
ff WIL 02
www.waterisliferecords.com
www.stephanewrembel.com
Notre avis : (5/5)

L’album Barbès-Brooklyn, du guitariste Stéphane Wrembel, date de 2006. Sur ce CD, qui comprend une introduction et une « détroduction », respectivement en début et en fin de disque, il est en sextet, avec basse, batterie, guitare pour la pompe, et un fabuleux washboardiste, David Langlois, ainsi qu’un très bon violoniste, Olivier Manchon.

Durée : 1h 33’ 54’’
WIL 01
www.waterisliferecords.com
Notre avis : (5/5)

C’est une idée très judicieuse qu’a eue le guitariste Stéphane Wrembel que d’enregistrer à quasiment dix ans d’intervalle deux CDs avec les titres rigoureusement identiques et dans le même ordre. C’est une excellente méthode, pour l’auditeur, pour voir et comprendre comment un style s’affirme, comment un musicien évolue, comment tout en jouant le même morceau, il joue quelque chose de très différent, comment se construit une personnalité musicale.

« Le resto-concerts où l’on déguste de la bonne musique en écoutant de bons petits plats » (c’est leur slogan, on n’y peut rien), autrement dit Aux Petits Joueurs, accueillait, le 9 novembre 2011, un revenant, le guitariste Stéphane Wrembel, qui séjourne depuis quelque temps déjà à New York.

La SPAT, la société qui organise le Salon HiFi & Home Cinéma qui s'est tenu les 1 et 2 octobre derniers à Paris, vient de donner les chiffres officiels de fréquentation pour l'édition 2011.

Qobuz, bien connu des audiophiles, est un site français de vente de musique en ligne qui a toujours privilégié la qualité. Depuis longtemps déjà, il propose le téléchargement de titres et albums en "vraie qualité CD" ou mieux en qualité "Studio Masters", c’est-à-dire en haute définition. Aujourd'hui, il lance, sur le même principe, ses formules d'écoute de musique en streaming illimitée.

Spanish Arias and Songs
avec l’Orquesta Nacional de Espana
dirigé par Josep Pons
Deutsche Grammophon (Universal)
Durée : 57’ 58’’
Notre avis : (4/5)

Excellente mozartienne (on se souvient de ses débuts au Théâtre de Poissy) Patricia Petibon chante également sous la direction de Sir John Eliot Gardiner dans l’Orphée de Gluck au théâtre du Châtelet en 1999. Mais elle participe aussi au répertoire baroque sous la direction de deux chefs qui se sont particulièrement distingués dans ce domaine : Nikolaus Harnoncourt et Marc Minkowski. Elle est aussi conviée à l’Opéra de Paris ainsi qu’à Salzbourg et à Vienne. Le répertoire français lui offre aussi la possibilité d’incarner Mélisande à l’Opéra de Lyon en 2004 ainsi que le rôle de Sophie dans Le Chevalier à la Rose de Richard Strauss, toujours à l’Opéra de Lyon.

Durée : 1h 1’ 2’’
Ahead AH 824.2
www.mike-reinhardt.com
Notre avis : (5/5)

C’est un trio particulier (guitare-orgue-batterie) avec un sax en invité qu’utilise depuis quelques années Mike Reinhardt, le guitariste manouche (école alsacienne), tout comme le font aujourd’hui Bireli Lagrene ou David Reinhardt. Une bonne idée, il ne faut pas que ça se perde.

Symphonie n° 6 , Op.74, « Pathétique »
Mendelssohn
Ouverture du Songe d’une Nuit d’Eté, Op. 21
par le Philharmonia Orchestra
dirigé par Sir Charles Mackerras
Signum Classics (Intégral Distribution )
Durée : 57’ 57’’
Notre avis : (4/5)

Troisième et dernière symphonie de la trilogie hantée par le thème du « fatum », la symphonie n° 6, dite Pathétique de Tchaïkovski se termine par un rite funèbre que l’on pourrait sans risque comparer à une sorte de Requiem.

par le Pittsburgh Symphony Orchestra
dirigé par Manfred Honeck
avec Michelle Deyoung
le Mendelssohn Choir of Pittsburgh
et le Children’s Festival Chorus of Pittsburgh
Exton (Intégral Distribution)
Durée : 34’ 10’’ + 1h 8’ 46’’
Notre avis : (4/5)

par l’Orchestre Philharmonique de Radio France
dirigé par Eliahu Inbal
avec Heidi Grant Murphy, soprano
Nora Gubisch, mezzo- soprano
Stuart Skelton, ténor
Nicolas Courjal, basse
et le Chœur de Radio France
Naxos (Abeille Musique)
Durée : 1h 12’ 09’’
Notre avis : (4/5)

Peu de compositeurs d’aujourd’hui osent affronter cette forme suprême de la musique sacrée que représente le Requiem. Pourtant c’est sans complexe que Thierry Lancino aborde un genre où Gilles, Mozart, Berlioz, Brahms, Verdi et bien d’autres compositeurs illustres l’ont précédé.