Tout a semblé tourner à la catastrophe à Montauban, ce 7 juillet, mais, heureusement, il y avait un artiste, ce soir-là, un artiste authentique, qui a sauvé la situation.

Nous vous l’avions annoncé, l’importateur PPL organisait trois jours de présentation des nouveautés Nordost et plus particulièrement des solutions d'optimisation du courant secteur assez révolutionnaires. Le magasin Audio Synthèse, bien connu des audiophiles parisiens, faisait partie des lieux privilégiés des démonstrations, menées de mains de maître par Lars Kristensen (responsable R&D et Marketing Nordost), nous nous y sommes rendus.

Soirée blues-funk, ce soir, au jardin des Plantes de Montauban, dans cette 30^ème édition de Jazz à Montauban. Une soirée pour danser et les jeunes se sont donné le mot pour y venir. Le soleil est de nouveau revenu et (on croise les doigts) pour longtemps.

La soirée du 5 juillet s’annonce plutôt mal côté météo. Quand nous arrivons, une armée de bénévoles, éponge dans la main droite, papier absorbant dans la gauche, essuie les sièges des travées un à un. C’est qu’il vient de tomber une belle averse, et un petit crachin subsiste, si bien que les placeuses, rouleau sous le bras, assèchent du mieux qu’elles peuvent l’endroit où vous allez vous asseoir. Mais le public de concerts en plein air est stoïque et même parfois héroïque et, ce soir, c’est supportable.

Le concert du 4 juillet, offert par la mairie de Montauban, était gratuit. En dépit d’un ciel menaçant en début d’après-midi (il était même tombé quelques gouttes), le public est finalement venu. Il faut dire que l’affiche était tentante. En première partie, c’était le trio du pianiste Philippe Duchemin qui, l’an dernier avait gagné le concours international d’orchestre de jazz, le trophée Matmut, sur cette même scène.

Le 3 juillet, c’était la grande première du festival Jazz à Montauban, qui fêtait sa trentième édition. Double anniversaire, puisque la vedette de la soirée, le pianiste Ahmad Jamal fêtait son quatre-vingt-deuxième anniversaire dans le département du 82.

Simple Audio est une jeune marque écossaise qui conçoit des lecteurs et amplificateurs réseaux. Créé en 2008 par des transfuges de chez Linn, dont un certain Peter Murphy, elle propose des appareils très simples, abordables, mais également conçus selon des exigences audiophiles.

du 27 juin au 1^er juillet

La 33^ème édition du festival de Samois s’est déroulée, coup de chance, sans une goutte de pluie. Coup de chance, car la veille encore et les jours précédents, il n’avait pas cessé de « dracher », comme on dit dans le Hainaut natal de Django Reinhardt. Les amateurs de swing manouche connaissent bien les trois festivals qui forment le pèlerinage en mémoire du guitariste qui a révolutionné l’art de la guitare : Liberchies, en Belgique (où il est né), Salbris en Sologne (où il s’est remarié) et Samois-sur-Seine où il est mort à 43 ans et où il est enterré, comme son fils Babik.

Les audiophiles le savent désormais, pour transformer un ordinateur en une source Hi-Fi, il ne faut pas compter sur les étages audio intégrés mais s'équiper d'un bon DAC (ou convertisseur) USB. Aussi, les produits de ce type sont de plus en plus nombreux sur le marché. Mais celui d'Audioquest se fait remarquer tout d'abord parce qu'il porte un joli nom, ensuite parce qu'il est minuscule et enfin parce que ses caractéristiques sont beaucoup moins légères qu'on ne pourrait le penser.