Claudio Abbado : A Russian Night
Orchestre du Festival de Lucerne
Hélène Grimaud
Rachmaninov : Concerto pour Piano n° 2
Tchaïkovski : La Tempête
Stravinski : L’Oiseau de feu
Deutsche Grammophon (Universel)
Durée du DVD : 80 mn + 5 minutes (extras)
Notre avis : :-D :-D :-D :-D :-D (5/5)
Capté au Festival de Lucerne au mois d’août 2008, ce concert fait une bonne place au fantastique, au légendaire comme par exemple dans cette Tempête op. 18 de Tchaïkovski qui ouvrait ce programme. Un monde délirant, chargé de toute la magie shakespearienne, où l’ignoble Taliban pourchasse sans répit le couple d’amoureux Miranda et Ferdinand !
Avec le Deuxième Concerto de Rachmaninov, c’est le retour au romantisme déferlant, aux grandes passions, prolongeant la voie ouverte par le Concerto pour Piano Op. 23 de Tchaïkovski.
Conclusion de ce concert prestigieux par la Suite de concert de 1919 du Ballet de Stravinski l’Oiseau de feu où la rutilance de l’orchestration souvent novatrice, ne renie pourtant guère l’héritage de Rimski - Korsakov !
Si dans le Concerto de Rachmaninov, Hélène grimaud s’impose par un jeu fait de force et de subtilité, Claudio Abbado qui comme à son habitude dirige par cœur, se révèle grand coloriste dans l’Oiseau de feu de Stravinski, tout en se déchaînant dans le tumulte et la frénésie charriés par La Tempête de Tchaïkovki !
Texte de Michel Jakubowicz
Hélène Grimaud
Rachmaninov : Concerto pour Piano n° 2
Tchaïkovski : La Tempête
Stravinski : L’Oiseau de feu
Deutsche Grammophon (Universel)
Durée du DVD : 80 mn + 5 minutes (extras)
Notre avis : :-D :-D :-D :-D :-D (5/5)
Capté au Festival de Lucerne au mois d’août 2008, ce concert fait une bonne place au fantastique, au légendaire comme par exemple dans cette Tempête op. 18 de Tchaïkovski qui ouvrait ce programme. Un monde délirant, chargé de toute la magie shakespearienne, où l’ignoble Taliban pourchasse sans répit le couple d’amoureux Miranda et Ferdinand !
Avec le Deuxième Concerto de Rachmaninov, c’est le retour au romantisme déferlant, aux grandes passions, prolongeant la voie ouverte par le Concerto pour Piano Op. 23 de Tchaïkovski.
Conclusion de ce concert prestigieux par la Suite de concert de 1919 du Ballet de Stravinski l’Oiseau de feu où la rutilance de l’orchestration souvent novatrice, ne renie pourtant guère l’héritage de Rimski - Korsakov !
Si dans le Concerto de Rachmaninov, Hélène grimaud s’impose par un jeu fait de force et de subtilité, Claudio Abbado qui comme à son habitude dirige par cœur, se révèle grand coloriste dans l’Oiseau de feu de Stravinski, tout en se déchaînant dans le tumulte et la frénésie charriés par La Tempête de Tchaïkovki !
Texte de Michel Jakubowicz