Ukulélé Club de Paris
Ukulélé Club de Paris
Manuia !
avec Dominique Cravic, Cyril Lefebvre, Fay Lovsky, François Ovide, Joseph Racaille, Bradney Scott et Tony Truant
Durée : 46’ 22’’
Frémeaux & Associés FA 515
(www.fremeaux.com)
Notation : :-) :-) :-) :-)
Le Ukulélé Club de Paris, cher à Dominique Cravic, celui-là même qui anime - avec quel talent ! - les Primitifs du Futur, avait sorti, chez Universal, en 2002, ce Manuia qui remettait au goût du jour les guitares hawaïennes qui avaient bercé la première moitié du XXème siècle. L’exotisme heureux, avec vahinés voluptueuses, parfums vanillés, cocktails sophistiqués, chemises à fleurs sur bronzage intégral. Un champ d’action qui baignait tout le Pacifique, de Hong Kong à Honolulu, de l’Inde à Java, mais avait, pour constante, le plaisir. En réactualisant les miaulements du ukulélé, la bande du UCP, avec ses artistes déjantés, pince-sans-rire et loufoques, mais pourris de talent, nous emmène dans son Pacifique à lui, plus pataphysicien que réaliste. Avec des airs qui invitent à la flemme salvatrice, à la clampouille révolutionnaire, et aux frotti-frotti-toc-toc-nombrils plus qu’au travail rédempteur. Et, il faut bien le dire, l’Europe ne s’est jamais remise du voyage de Bougainville ni de la découverte de Tahiti et du paradis sur terre. Ce CD nous les remet en mémoire.
texte de Michel Laroche
Manuia !
avec Dominique Cravic, Cyril Lefebvre, Fay Lovsky, François Ovide, Joseph Racaille, Bradney Scott et Tony Truant
Durée : 46’ 22’’
Frémeaux & Associés FA 515
(www.fremeaux.com)
Notation : :-) :-) :-) :-)
Le Ukulélé Club de Paris, cher à Dominique Cravic, celui-là même qui anime - avec quel talent ! - les Primitifs du Futur, avait sorti, chez Universal, en 2002, ce Manuia qui remettait au goût du jour les guitares hawaïennes qui avaient bercé la première moitié du XXème siècle. L’exotisme heureux, avec vahinés voluptueuses, parfums vanillés, cocktails sophistiqués, chemises à fleurs sur bronzage intégral. Un champ d’action qui baignait tout le Pacifique, de Hong Kong à Honolulu, de l’Inde à Java, mais avait, pour constante, le plaisir. En réactualisant les miaulements du ukulélé, la bande du UCP, avec ses artistes déjantés, pince-sans-rire et loufoques, mais pourris de talent, nous emmène dans son Pacifique à lui, plus pataphysicien que réaliste. Avec des airs qui invitent à la flemme salvatrice, à la clampouille révolutionnaire, et aux frotti-frotti-toc-toc-nombrils plus qu’au travail rédempteur. Et, il faut bien le dire, l’Europe ne s’est jamais remise du voyage de Bougainville ni de la découverte de Tahiti et du paradis sur terre. Ce CD nous les remet en mémoire.
texte de Michel Laroche