George Washingmachine : Dream Dancing
Dream Dancing
Durée 59’ 12
Pigalle CD344 (www.pigallerecords.com)
Notation : :-) :-) :-) :-)
George Washingmachine (un nom pareil, ça ne s’invente pas ? Eh bien, si. La preuve !) violoniste à la Grappelli et chanteur de blues, joue avec le Pigalle 44 du guitariste de swing manouche Reinier Voet, c’est-à-dire Jan Brouwer à la guitare rythmique et Simon Planting à la contrebasse. Au programme, du jazz, et du bon. Du Django Reinhardt pour commencer (Djangology, Nuages), puis du Irving Berlin, du Cole Porter et des standards inoxydables (Out of Nowhere, Stella by Starlight, My Melancholy Baby, Solitude, Moonlight in Vermont, Some of These Days), tout ça joué avec la décontraction qu’il faut, la virtuosité discrète, le plaisir de jouer qu’on devine à chaque instant. La voix, quoique fort agréable, n’est certes pas celle de Johnny Mathis, mais on s’en fiche. C’est bien fait, sans affèterie. C’est beau et émouvant.
texte de Michel Bedin
Durée 59’ 12
Pigalle CD344 (www.pigallerecords.com)
Notation : :-) :-) :-) :-)
George Washingmachine (un nom pareil, ça ne s’invente pas ? Eh bien, si. La preuve !) violoniste à la Grappelli et chanteur de blues, joue avec le Pigalle 44 du guitariste de swing manouche Reinier Voet, c’est-à-dire Jan Brouwer à la guitare rythmique et Simon Planting à la contrebasse. Au programme, du jazz, et du bon. Du Django Reinhardt pour commencer (Djangology, Nuages), puis du Irving Berlin, du Cole Porter et des standards inoxydables (Out of Nowhere, Stella by Starlight, My Melancholy Baby, Solitude, Moonlight in Vermont, Some of These Days), tout ça joué avec la décontraction qu’il faut, la virtuosité discrète, le plaisir de jouer qu’on devine à chaque instant. La voix, quoique fort agréable, n’est certes pas celle de Johnny Mathis, mais on s’en fiche. C’est bien fait, sans affèterie. C’est beau et émouvant.
texte de Michel Bedin