Boldemann. Gefors. Hillborg : Orchestrals Songs
Boldemann. Gefors. Hillborg
Orchestral Songs
par Anne Sofie von Otter
et l’orchestre symphonique de Göteborg
sous la direction de Kent Nagano
Deutsche Grammophon 477 7439
Durée : 62mn
Notation : :-) :-) :-) :-)
Qui d’autre que la fabuleuse mezzo-soprano Anne Sofie von Otter aurait pu avoir l’idée d’enregistrer trois compositeurs suédois contemporains, à savoir Anders Hillborg, Laci Boldemann et Hans Gefors dans un programme de chansons orchestrales ? Le résultat, s’il n’est pas d’une facilité conseillée à tous, est toutefois remarquable pour qui est curieux et n’a pas des oreilles de lavabo. Le thème général en est la désespérance, la douleur, le deuil, les désillusions, l’accablement, bref, on l’aura deviné, pas franchement la joie de vivre. Laci Boldemann dans ses quatre épitaphes en anglais, Hans Gefors pour ses Chants de Lydia, en suédois (et en français, car il y a un extrait de Carmen) et Anders Hillborg, en italien, avec des reprises de poèmes de Pétrarque se sont exprimés dans ce climat élégiaque, pour une première mondiale qui fera parler d’elle.
texte d'Yvette Canal
Orchestral Songs
par Anne Sofie von Otter
et l’orchestre symphonique de Göteborg
sous la direction de Kent Nagano
Deutsche Grammophon 477 7439
Durée : 62mn
Notation : :-) :-) :-) :-)
Qui d’autre que la fabuleuse mezzo-soprano Anne Sofie von Otter aurait pu avoir l’idée d’enregistrer trois compositeurs suédois contemporains, à savoir Anders Hillborg, Laci Boldemann et Hans Gefors dans un programme de chansons orchestrales ? Le résultat, s’il n’est pas d’une facilité conseillée à tous, est toutefois remarquable pour qui est curieux et n’a pas des oreilles de lavabo. Le thème général en est la désespérance, la douleur, le deuil, les désillusions, l’accablement, bref, on l’aura deviné, pas franchement la joie de vivre. Laci Boldemann dans ses quatre épitaphes en anglais, Hans Gefors pour ses Chants de Lydia, en suédois (et en français, car il y a un extrait de Carmen) et Anders Hillborg, en italien, avec des reprises de poèmes de Pétrarque se sont exprimés dans ce climat élégiaque, pour une première mondiale qui fera parler d’elle.
texte d'Yvette Canal