Vivaldi : Les Quatre Saisons
Les Quatre saisons.
par Amanda Favier, Axel Salles, Joël Pontet et le quatuor Alma (Ann-Estelle Médouze, Emmanuel Herschon, Claudine Christophe et Lionel Wantelez)
Saphir LVC 1088 ([email]Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser. [/email])
Durée : 36 mn 23 s
Notation (sur 5) : :-) :-) :-) :-)
La jeune violoniste Amanda Favier, secondée par Axel Salles (contrebasse), Joël Pontet (clavecin) et le quatuor Alma, c’est-à-dire Ann-Estelle Médouze et Emmanuel Herschon (vln), Claudine Christophe (avln) et Lionel Wantelez (cello) (nous les citons tous, car ils sont tous parfaits) s’est attaquée aux Quatre Saisons de Vivaldi.
Beau culot ! Et payée en retour. Car, après I Musici, Harnoncourt, Neville Marriner et tant d’autres, pour se frotter à ces « scies » que sont devenues les Quatre Saisons, il faut du cran. Elle n’en manque pas, Amanda Favier, ni ses complices. Elle a une façon vertigineuse de faire danser cette musique inspirée. Un souffle merveilleux de fraîcheur et d’enthousiasme qui ravit l’auditeur qui croit entendre pour la première fois cette œuvre pétrie d’inventions.
texte de Yvette Canal
par Amanda Favier, Axel Salles, Joël Pontet et le quatuor Alma (Ann-Estelle Médouze, Emmanuel Herschon, Claudine Christophe et Lionel Wantelez)
Saphir LVC 1088 ([email]
Durée : 36 mn 23 s
Notation (sur 5) : :-) :-) :-) :-)
La jeune violoniste Amanda Favier, secondée par Axel Salles (contrebasse), Joël Pontet (clavecin) et le quatuor Alma, c’est-à-dire Ann-Estelle Médouze et Emmanuel Herschon (vln), Claudine Christophe (avln) et Lionel Wantelez (cello) (nous les citons tous, car ils sont tous parfaits) s’est attaquée aux Quatre Saisons de Vivaldi.
Beau culot ! Et payée en retour. Car, après I Musici, Harnoncourt, Neville Marriner et tant d’autres, pour se frotter à ces « scies » que sont devenues les Quatre Saisons, il faut du cran. Elle n’en manque pas, Amanda Favier, ni ses complices. Elle a une façon vertigineuse de faire danser cette musique inspirée. Un souffle merveilleux de fraîcheur et d’enthousiasme qui ravit l’auditeur qui croit entendre pour la première fois cette œuvre pétrie d’inventions.
texte de Yvette Canal