Skip to main content
PUBLICITÉ
  • Michel Jakubowicz
  • Musique

Festival de Saintes 2016

Festival Saintes 2016 musique classique

Festival de Saintes, du 8 au 16 juillet 2016
Stephan Maciejewski, directeur artistique
www.festivaldesaintes.org

LA SUITE APRÈS LA PUB

Un Festival qui fait appel non seulement aux talents reconnus mais qui va aussi permettre à de jeunes talents de se révéler.

Parmi les évènements musicaux incontournables de ce Festival, citons Les Vêpres de Claudio Monteverdi par l’Ensemble La Tempête dirigé par Simon-Pierre  Bestion, les Symphonies No5 et No7 de Beethoven par l’Orchestre des Champs-Elysées dirigé par Philippe Herreweghe. Il faut également citer le semi-opéra King Arthur d’Henry Purcell donné par Vox Luminis et dirigé par Lionel Meunier. La Symphonie Fantastique de Berlioz sera dirigée par Marc Minkowski à la tête du JOA sans oublier la présence de la Cappella Mediterranea dirigée par Leonardo Garcia Alarcon (Grandes scènes d’opéras de Cavalli). Parmi les grands interprètes effectuant leur retour dans ce Festival, citons la présence de Véronique Gens qui se produisait dans ce Festival avec Christophe Rousset vingt-ans auparavant. Il faudra aussi compter sur la présence de Skip Sempé et de son Ensemble Capriccio Stravagante, sur la venue aussi du Quatuor Hermès, du Quintette Fauve, du Collegium Vocale Gent, de l’Ensemble Masques, des Cyclopes et de L’Achéron. Parmi les nouveaux talents Jean Rondeau (clavecin) sera présent ainsi que Jean-Luc Ho (clavecin), Béatrice Martin (clavecin) et aussi Camille Thomas (violoncelle). La musique contemporaine ne sera pas absente de ce Festival grâce à l’Ensemble Intercontemporain. Le piano sera aussi présent avec Ivan Ilic, Geoffroy Couteau, Maxime Zecchini et David Bismuth. Mais il faudrait aussi noter la présence de l’Ensemble de Mala Punica, de Nevermind, de Graindelavoix ainsi que celle du Duo de harpes Manora.

Un Festival remarquable pour sa programmation opérant un subtil mélange d’époques puisqu’on passe aisément de l’âge baroque au romantisme sans pour autant oublier l’ère contemporaine. Bref, Monteverdi, Cavalli, Purcell, Beethoven, Berlioz remis en pleine lumière grâce à des interprètes triés sur le volet par un directeur de Festival exigeant, n’omettant aucun segment du vaste édifice musical légué par les siècles précédents.
Texte de Michel Jakubowicz



Autres articles sur ON-mag ou le Web pouvant vous intéresser


PUBLICITÉ