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Videoprojecteur : Marantz VP-12S1

- Résolution : 1280 x 720
- Format 16/9
- Contraste : 1200/1
- Luminosité : 700 lumens ANSI
- Uniformité : 90 %
- Compatibilité informatique : XGA, Wide XGA
- Dimensions : 405 x 132 x 471 mm
- Poids : 13 kg
- Prix au 01/04/2002 : 11 000 EUR


Le Marantz VP-12S1 est une merveille d’esthétisme futuriste, qui abrite des montagnes d’ingéniosité. Avec ses 13 kg, il se positionne comme un modèle de salon facile d'installation grâce à un shift vertical et une correction de trapèze. Sa construction l'autorise cependant aux espaces viciés car le bloc optique, spécialement conçu par Minolta, est entièrement scellé et la coque doublée par endroits afin d’éviter toute fuite de lumière. De même pour le bruit de fonctionnement, rendu infime par une roue de chroma à 6 segments au moteur emprisonné et une ventilation étonnement silencieuse.
Mais le VP-12S1 est surtout révolutionnaire par sa matrice DMD de chez Texas Instruments, d’une résolution native de 1280 x 720 cadrant pile poil avec la Haute Définition US (le fameux 720 p).
Autour de cette matrice, Marantz a créé une électronique capable de reformater les sources pour les adapter à une diffusion HD. Selon les modes, le VP-12S1 peut afficher l’image vidéo à sa taille originelle ou en mode 720p. De plus, très ouvert d’esprit, ce surdoué peut recevoir des signaux RVB/computer, YUV, composites, S-Vidéo, et accepte les sources entrelacées (jusqu’à 1080i) ainsi que les sources en Progressive Scan (480p ou 720p).
Pour ce faire, Marantz a offert à son vidéoprojecteur le nec plus ultra du traitement numérique incarné par le plus évolué des circuits créés par SAGE-Faoudja. Il s'agit d’un super doubleur de lignes intelligent qui travaille sur tous les paramètres de l’image originelle, permettant un accroissement de la résolution horizontale et verticale.
Malgré cette apparente complexité, le menu à l'écran du VP-12S1 est hyper clair. L'appareil peut fonctionner en mode automatique ou manuel et l’on a accès aux zooms, au réducteur de bruit, à la température de chroma au réglage du noir, de la phase…
Enfin, pendant les essais nous avons été soufflés par l’absence totale de texture électronique de l’image. Mais où sont les lignes ? Les pixels ? Où sont les quelques défauts d’un DVD ? Bah, ils ont été dévorés par le circuit SAGE/Faroudja qui fait plus que nettoyer l’image vidéo, il en fait une image argentique rénovée, exempte de bruit, et quelques fois même de texture de pellicule. Enthousiasmant !



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