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TAD D1000TX et DA1000TX : lecteur SACD et DAC pour une expérience audiophile numérique totale

TAD D1000TX et TAD DA1000TX 01

Il n'y a pas qu'Accuphase qui perpétue la tradition presque ésotérique du lecteur SACD/CD et du convertisseur très haut de gamme. TAD, autre constructeur japonais au moins aussi prestigieux, apporte encore une fois sa pierre à l'édifice avec le duo TAD-D1000TX et TAD-DA1000TX. Le premier modèle est lecteur SACD/CD et convertisseur peaufiné dans ses moindres détails, le second est son équivalent, sans l'unité de lecture SACD/CD. Ce couple remplace ainsi le précédent ensemble TAD-D1000MK2 et TAD-DA1000.

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Refuser en bloc les vibrations

Avec leur look particulièrement épuré et futuriste, les TAD D1000TX et DA1000TX sont vraiment réussis dans le genre luxueux. La marque a uniformisé presque totalement le dessin des deux appareils, sans doute par souci de simplicité. Seul le découpage du plateau pour SACD/CD permet de distinguer les deux modèles.
La construction, commune, repose sur un châssis entièrement en aluminium, utilisant des plaques de 8 mm d'épaisseur et un centre de gravité très bas (afin de réduire les vibrations). Les deux châssis sont complétés par des pieds spéciaux, découplant presque parfaitement les appareils de leur surface de contact.

TAD D1000TX et TAD DA1000TX 02

Malgré leurs dimensions (440 x 150 x 406 mm) et une fabrication toute métallique, les D1000TX et DA1000TX ne sont pas les lecteurs/convertisseurs les plus lourds que nous ayons rencontrés, loin de là. Comptez tout de même 18,5 kg pour le lecteur CD TAD-D1000TX et 16,5 kg pour le TAD-DA1000TX.

On partage tout, sauf les galettes

Outre leur forme extrêmement proche, les deux éléments partagent également une même base technique. Nous l'avons évoqué précédemment : les TAD D1000TX et DA1000TX sont globalement les mêmes, à un lecteur CD près.
Ainsi retrouve-t-on, quel que soit l'appareil, la connectique suivante : 1 entrée USB-B, 1 entrée XLR (probablement norme AES/EBU), 2 entrées coaxiales et 1 entrée optique. La ressemblance est presque parfaite en sortie : 1 sortie numérique XLR (probablement AES/EBU), 1 sortie coaxiale (numérique), 1 sortie stéréo en RCA (asymétrique) et 1 sortie en double XLR (symétrique). Notons que le DA1000TX est pourvu, en plus, d'une sortie casque.

TAD D1000TX et TAD DA1000TX

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Très pratique, chaque sortie Ligne peut être couplée avec un contrôle de volume (sortie variable donc) et ainsi être utilisée directement avec un amplificateur de puissance.
Suivant l'interface de lecture, les deux appareils peuvent lire des fichiers PCM jusqu'en 32 bits/384 kHz et le DSD en natif jusqu'à une qualité DSD256.
La différence fondamentale entre les deux modèles relève donc de la présence d'un transport SACD/CD sur le D1000TX. Finalement peu détaillé par TAD, cet élément est monté dans une structure minimisant les vibrations externes et intègre un plateau entièrement en aluminium usiné, avec anodisation noire (pour réduire les diffusions du faisceau laser). 

Technologie et secrets

Puisque nous parlons d'éléments de conversion numérique vers analogique, nous serions logiquement en droit de connaître quel type de puce est utilisé, ou quelle technologie (utilisation d'une structure FPGA et/ou R2R) nous a concocté le constructeur. Peine perdue, puisque TAD ne fournit aucun indice concernant cet élément pourtant capital. Tout cela pour cacher que des puces classiques (même s'il s'agit de références haut de gamme) équipent ses produits High End ? Peut-être.
Côté technique, la marque ne dévoile que trois choses. Premièrement, l'utilisation d'une alimentation haut de gamme, basée sur un large transformateur monté sur une plaque de laiton de 6 mm de diamètre.

TAD D1000TX et TAD DA1000TX 02

Deuxièmement, l'intégration d'un circuit d'horloge maison, appelé Ultra-High C/N2 Master Clock UPCG. À la base développé par la marque pour son lecteur CD fer de lance D600, ce circuit met l'accent sur une précision extrême, permettant selon TAD d'améliorer encore le rapport signal/bruit par rapport à des oscillateurs classiques (l'effet du jitter étant effectivement représenté par la hausse du bruit de fond).
Enfin, le constructeur a concentré ses forces sur l'interface USB, gérée par son système Asynchronous USB Communication Engine de troisième génération, lui-même basé sur une structure FPGA. Là encore, l'idée est de réduire au maximum le jitter. On ne débattra pas sur le soin accru accordé au jitter, le très haut de gamme ne faisant pas dans la nuance.

Références particulièrement haut de gamme, les TAD D1000TX et TAD DA1000TX sont annoncés au Japon pour des tarifs respectifs de 2 100 000 Yens et 1 400 000 Yens. Du fait des taxes, frais d'importation et distribution, les prix en Europe, lorsque ces produits y seront disponibles, devraient naturellement être plus élevés.

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