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ON-TopModel Hdph #12 : la chanteuse Manon Raineri habillée par Frends

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La première fois que l'on rencontre Manon Raineri, on est tout de suite frappé par sa jeunesse, sa timidité et sa gentillesse. Et pourtant, elle est déjà une grande artiste. Elle chante depuis sa plus tendre enfance.  La musique est la passion de sa vie. Nous l'avons vue en concert aux Déchargeurs à Paris et nous y sommes même retournés une seconde fois. Sa fraicheur, sa sensibilité à fleur de peau, sa grâce, son émotion, les textes et les musiques de son ami Tristan Leroy nous ont touchés.
Nous lui avons donc proposé de faire partie de notre série de portraits ON-TopModel Hdph. Nous avons choisi pour elle les casques Frends, Layla et Taylor, dessinés comme des bijoux, des parures qui conviennent totalement à l'univers de princesse de la chanson française de Manon.

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Manon est encore cette semaine en concert aux Déchargeurs prés du Châtelet à Paris. Elle y sera à nouveau du 9 janvier au 20 mars tous les vendredis. Nous vous recommandons d'y aller. Le concert se déroule dans une petite salle très intime d'une vingtaine de places. Manon et ses trois comparses de scène vous donneront l'impression de ne jouer rien que pour vous... la magie passe sans filtre.
Pour réserver : www.lesdechargeurs.fr/spectacle/manon-raineri

L'interview ON Magazine de Manon Raineri

Qui es-tu, que fais-tu dans la vie ?

Je m’appelle Manon Raineri, j’ai 24 ans. Je suis chanteuse de chanson française et en parallèle, journaliste et rédactrice pour divers médias.

Comment es-tu venue à la musique ?

Depuis toute petite j’ai toujours chanté et écouté de la musique. J’ai commencé la danse à 5 ans puis à 11 ans j’ai intégré une troupe de comédie musicale dirigée par Luckine Pinel à Cannes. Jusqu’à mes 17 ans, j’ai chanté, dansé et joué la comédie sur de nombreuses scènes, en région PACA, mais aussi aux États-Unis à Beverly-Hills. C’est comme ça que j’ai pris goût aux arts de la scène et au chant en particulier. Depuis 2010, je travaille avec Tristan Leroy à la création de mon propre répertoire de chansons.

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Comment choisis-tu tes textes, tes musiques ? Quelles sont tes sources d'inspirations ?

Souvent, l’idée d’un texte part d’une anecdote que je vais raconter à Tristan, d’un mot ou d’une phrase. En général, on tombe assez vite d’accord sur des paroles et une mélodie lorsque l’on commence à chanter tous les deux au piano. C’est un bon mélodiste, il me connait bien, pourtant nous n’écoutons pas toujours la même chose. Parmi mes influences il y a surtout des groupes de rock féminin comme Evanescence, Within Temptation et Halestorm. J’aime aussi passionnément des artistes de pop anglophones comme Imogen Heap et Sara Bareilles. Pour les Françaises, je citerais Émilie Simon, Camille et Pauline Croze. Ça fait beaucoup de filles… Mais des chanteurs comme Freddie Mercury ou Michael Jackson m’ont aussi beaucoup inspirée, au même titre que Vincent Delerm et Alain Souchon. Mais nos sources d’inspirations sont aussi des livres, des œuvres d’art, des films ou des personnes de notre entourage. Ma chanson « Éponyme » évoque des lectures qui m’ont marquées. Dans « Écho », Tristan fait un clin d’œil au peintre Pierre Soulages…

Ton premier album s'intitule "Dieu ou le Chocolat" es-tu croyante et pratiquante ?

Je suis croyante, mais plus vraiment pratiquante. J’ai reçu une éducation catholique, avec des cours de catéchisme et tous les sacrements reçus jusqu’à la Confirmation, mais je me considère aujourd’hui comme une vraie déiste. Je crois en Dieu, mais pas à ce qu’en ont fait les hommes. Ma relation avec Dieu est très personnelle.

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Tu viens d'enregistrer ton premier album "Dieu ou le Chocolat". Que gardes-tu de ton expérience en studio ?

Tout d’abord, c’était pour moi une expérience humaine très forte. Pendant 11 jours, mes musiciens, mes amis, mais aussi des personnes que je voyais pour la première fois sont venus pour moi, pour mes chansons, ils ont tout donné pour que ce disque soit tel que je l’avais imaginé. C’était très émouvant, je crois que je ne les remercierais jamais assez.

Est-ce que c'était très différent d'une production à la maison ?

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Ce qui change tout, au-delà des conditions d’enregistrement et du matériel, c’est la présence d’un ingénieur du son pour capter et mixer tout ça. On a eu la chance de travailler avec Vincent Thermidor au Studio de la Tour Fine qui est un ingé son exceptionnel. Sa bonne oreille, ses idées et sa patience ont vraiment contribué à la bonne qualité de la production. À L’Autre Studio, pour le mastering, j’ai pu me rendre compte à quel point cette étape était importante pour le son global du disque. Grâce au travail de Jean-Pierre Bouquet, certaines chansons comme « Écho » ont pris une toute autre ampleur.

La qualité du son a-t-elle une importance particulière pour toi ? Est-ce qu'il y a des éléments de la prise de son et du mixage auxquels tu accordes plus d'importance ?

Un son de bonne qualité peut tout changer dans la perception de l’auditeur. Dans certaines chansons de Bjork ou d’Imogen Heap par exemple, je sens que le travail sur le son a une influence essentielle sur l’émotion que dégage le morceau. Personnellement, j’accorde énormément d’importance aux chœurs et à leur mixage, parce que la voix est mon instrument de musique privilégié.

As-tu un magasin/un site de musique/instrument préféré ?

J’aime bien me balader à Pigalle dans les magasins de musique, je crois que je ne vais pas tarder à me mettre au piano, mon instrument préféré avec la harpe. D’ailleurs, j’ai fait venir une harpiste pour une chanson de mon album, je me souviens la première fois qu’elle a joué de cet instrument si féérique, les larmes me sont venues, j’étais très émue.

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Quels casques audio, écouteurs utilises-tu au quotidien ?

Impossible pour moi de sortir dans la rue ou de prendre le métro sans musique. C’est une vraie drogue. J’utilise un casque Sony assez basique, mais très solide, qui ne m’a jamais fait de mauvaises surprises.

Qu'écoutes-tu comme musique en ce moment ?

À l’approche de Noël, j’aime bien écouter des choses un peu jazzy ou dans l’air du temps. En ce moment les deux albums de Nikki Yanofsky et l’album de duos de Tony Bennett. Mais aussi le dernier album de Taylor Swift et celui de U2.

Tu viens de passer plusieurs semaines sur scène aux Déchargeurs, qu’elles ont été tes impressions, tes grands moments d'émotions ?

Beaucoup de moments de joie et de complicité sur scène avec mes musiciens, et bien-sûr ces moments de communion avec le public comme sur la chanson « Jeu Thème » par exemple, où ce sont eux qui font mes chœurs ! Et puis après le spectacle, voir que des gens que je ne connaissais pas ont acheté l’album et me félicitent. Parmi les plus beaux compliments je crois que je retiens ce très touchant « On aurait voulu que ça dure une heure de plus ! »…

Qu'as-tu pensé des casques Frends Layla et Taylor

L'esthétique est pour moi leur principal atout. Ils sont très beaux, les faces extérieures sont interchangeables et certaines ont une surface nacrée qui se marie très bien avec le doré. De vrais casques de princesse, des bijoux très confortables. Une petite préférence pour le plus gros qui englobe bien l'oreille. L'isolation est très bien. Le son est très correct sans être exceptionnel. Confort, esthétique et bonne qualité globale sont, je pense, les trois points forts de ces casques. 

Pour voir Manon Raineri en concert, avoir de ses nouvelles ou commander son album

En concert au théâtre des Déchargeurs à Paris les 16 et 19 décembre à 19 h 30 puis tous les vendredis à 21 h 30 du 9 janvier au 20 mars 2015 :

Toutes les photos du shooting ON-TopModel Hdph de Manon Raineri



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